Cette bonne nouvelle pour les clients est synonyme de baisse des recettes pour La Poste, relève cette dernière, qui doit proposer des prix conformes au marché et alignés sur les coûts pour rester compétitive.
Quelques produits moins utilisés pourront faire ponctuellement l’objet d’adaptations mineures de prix, qui entreront en vigueur début 2019.
Dialogue avec le Surveillant des prix
La Poste doit réaliser des bénéfices pour financer elle-même le service universel, se développer et répondre aux exigences modernes de sa clientèle.
Mais son cœur de métier ne cesse de décliner. Le volume de lettres et les opérations au guichet sont en recul depuis des années et les bénéfices n’ont cessé de diminuer ces dernières années du fait des taux bas.
C’est pourquoi La Poste recherchera le dialogue avec le Surveillant des prix dans l’année à venir afin de discuter de la future structure des prix des lettres et des colis à compter de 2020.
ats/pym