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Pas de lien entre les arrestations en Grèce et les attentats belges déjoués

Face à la menace terroriste, quelque 150 soldats ont été déployés à Anvers, en Belgique. [EPA/JULIEN WARNAND]
Face à la menace terroriste, quelque 150 soldats ont été déployés à Anvers, en Belgique. - [EPA/JULIEN WARNAND]
Le parquet belge a démenti dimanche tout lien entre des arrestations annoncées samedi à Athènes et les attentats déjoués en Belgique cette semaine. Le cerveau présumé est toujours recherché.

Le parquet en charge de l'enquête sur la cellule djihadiste démantelée cette semaine en Belgique alors qu'elle était sur le point de commettre des attentats a démenti dimanche tout lien avec des arrestations la veille dans le centre d'Athènes.

"Il est apparu qu'il n'y a aucun lien entre ces personnes et l'enquête", a indiqué Eric Van Der Sypt, le porte-parole du parquet fédéral.

Une source policière grecque avait fait état de quatre arrestations, précisant que la police antiterroriste avait transmis ADN et empreintes digitales pour vérifier si un Belge de 27 ans d'origine marocaine, présenté par les médias belges comme le chef de cette cellule, figurait parmi eux.

Leader présumé des attentats belges déjoués localisé en Grèce

Le leader présumé de la cellule a combattu dans les rangs du groupe Etat islamique en Syrie, selon les médias belges. Il dirigeait et finançait la cellule depuis la Grèce où son téléphone avait été localisé.

Lire aussi: Jusqu'à 300 militaires déployés en Belgique après les attentats déjoués

afp/vtom

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