Durant sept jours, 38 exposants représentant les hautes écoles, les écoles professionnelles et les entreprises de la région ont transmis leur savoir et leur expertise à des enfants "très impliqués et à l'écoute", indique lundi le Département vaudois de l'enseignement et de la formation professionnelle, organisateur de l'événement avec l'EPFL et la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie. Plus de 400 classes vaudoises ont fait le déplacement.
"Ce salon nous a permis d'intéresser les jeunes à nos formations, mais il nous a aussi donné une opportunité unique d'entrer en contact avec les parents, de leur présenter ce que l'on fait et de leur parler des débouchés", a relevé Christophe Unger, directeur de l'Ecole technique - Ecole des métiers de Lausanne, cité dans le communiqué.
Pour le conseiller d'Etat Frédéric Borloz également, la mission est accomplie: "Sur les stands, les échanges avec les lieux de formation et les entreprises ont été riches, preuve du grand intérêt du public."
Les filles dans le viseur
Pour l'Etat de Vaud, le salon MINT est vu comme un outil supplémentaire et complémentaire au Salon des métiers. Il s'adresse particulièrement aux filles, qui peuvent rencontrer des modèles féminins qui font carrière dans des métiers majoritairement occupés par des hommes.
Un bilan complet sera désormais effectué grâce notamment aux résultats d'un sondage. Il permettra de déterminer les contours de la prochaine édition.
ats/miro