Un accord qui ne va pas faire fuir les avoirs non déclarés vers les paradis fiscaux : la conviction d'Eveline Widmer-Schlumpf, la présidente de la Confédération, juge le compromis favorable aux deux Etats. Maître d'oeuvre de cet accord, le secrétaire d'Etat aux questions financières internationales Michael Ambühl, pense aussi que les clients allemands concernés ont toutes les raisons de choisir la régularisation de leurs fonds en Suisse, via l'impôt à la source.