Le porte-parole du ministère de l'Intérieur Mohamed Ali Aroui a précisé que dix des personnes interpellées étaient suspectées d'être directement liées à l'attaque revendiquée par le groupe Etat islamique (EI). Il n'a donné aucune indication sur leur identité.
Samedi, des centaines de Tunisiens se sont réunis pour une messe célébrée à la cathédrale de Tunis, allumant des bougies en mémoire des victimes de l'attaque.
Les corps des 21 personnes décédées dans l'attentat du Bardo "ont tous été identifiés", a souligné samedi le ministère de la Santé. La dernière victime est de nationalité russe.
D'autres attentats redoutés
Les autorités tunisiennes affirment que les deux auteurs de l'attentat, abattus, se sont entraînés dans des camps djihadistes en Libye.
Le gouvernement de Tunis estime que plus de 3000 Tunisiens sont allés se battre en Syrie et en Irak. Un demi-millier d'entre eux sont rentrés en Tunisie, où le gouvernement redoute qu'ils ne commettent des attentats.
Déjà des effets sur le tourisme:
agences/olhor