![L'Américain Peter Kassig avait été enlevé en 2013 en Syrie. [Lefteris Pitarakis]](https://img.rts.ch/articles/2014/image/jy3254-27847417.image?w=1280&h=720 "L'Américain Peter Kassig avait été enlevé en 2013 en Syrie. [Lefteris Pitarakis]")
Un second Français identifié parmi les bourreaux du groupe Etat islamique
Un deuxième Français a été identifié mercredi sur la vidéo publiée ce week-end par le groupe Etat islamique et mettant en scène l'exécution d'un otage américain et de soldats syriens.
Un second Français a été identifié parmi les djihadistes ayant pris part à l'assassinat d'un otage américain et de soldats syriens au cours du week-end mis en scène dans une vidéo du groupe Etat islamique (EI), a affirmé mercredi une source proche du dossier.
Selon cette source, il s'agit d'un homme de Villiers-sur-Marne, une localité de la banlieue est de Paris. Converti à l'islam, il a adopté le nom de guerre d'Abou Othman et se serait rendu en Syrie à l'automne 2013.
Deux Français sur la vidéo
Dès lundi, la justice française avait annoncé avoir identifié un premier Français de 22 ans dans la vidéo de propagande de l'EI montrant la mise à mort de 18 Syriens et de l'Américain Peter Kassig.
Plus de 1100 Français sont impliqués dans les filières djihadistes et 376 d'entre eux sont actuellement présents en Syrie ou en Irak, selon les autorités françaises. Une quarantaine y ont déjà trouvé la mort.
afp/ebz
Publié
Nouvelles frappes aériennes françaises
La France a procédé à de nouvelles frappes contre des positions de l'organisation Etat islamique (EI).
De plus, elle va déployer six Mirage en Jordanie, qui viendront s'ajouter aux neuf Rafale déjà basés aux Emirats arabes unis, pour lutter en Irak contre l'organisation Etat islamique (EI), a annoncé mercredi le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
Pas de Belge parmi les bourreaux
Il n'y a "aucun Belge" parmi les bourreaux apparaissant sur la vidéo montrant la décapitation de soldats syriens par le groupe de l'Etat islamique, a indiqué mercredi la justice belge, malgré la ressemblance frappante entre l'un des auteurs de cette atrocité et un jeune originaire de la banlieue de Bruxelles.