"J'ai vu ce qui s'est passé à partir du mois de février 2014. Et ce que (la Suisse) a trouvé est génial", a affirmé Jean Asselborn, en référence à la préférence indigène soutenue par le Parlement. Celle-ci vise à trouver une solution après le vote du 9 février 2014 sur l'immigration de masse et prévoit d'établir des plafonds et des contingents annuels pour limiter le nombre d’étrangers.
"Je pense qu'il y avait quelques machinistes comme (les conseillers fédéraux) Didier Burkhalter ou Simonetta Sommaruga, qui ont aidé à pousser le Parlement à trouver cette solution remarquable (...) La Suisse a besoin de l'Union européenne et vice versa", a estimé le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères.
>> L'interview complète de Jean Asselborn:
Propos recueillis par Romain Clivaz
Texte web: hend