"Je ne m'engage pas pour obtenir de l'argent ni pour réintégrer le contingent", affirme Johan Djourou dans une interview au quotidien valaisan. "Mon objectif est de réparer devant la justice, les dommages causés par cette affaire. (...) Mes coéquipiers et moi ne sommes pas simplement des mercenaires motivés par l’argent comme certains nous ont rapidement classés depuis notre licenciement. Si le tribunal me donne raison, je ferai don des montants obtenus pour tort moral."
L'ancien international reproche au club son manque de communication et la présentation de l'affaire au public. Il précise que son salaire au FC Sion était inférieur au montant maximal prévu en cas de chômage partiel. "Un employeur ne peut pas exploiter une telle situation pour imposer quelque chose en moins de 24 heures", souligne le Genevois.
D'autres joueurs licenciés ont également lancé des procédures.
ats/jbal