Difficile de se repérer dans la jungle des informations nutritionnelles qui figurent sur les emballages industriels. Surfant sur la vague du bien manger, plusieurs applications proposent d’aider les consommateurs à décrypter les étiquettes. Comment fonctionnent-elles ? Peut-on leur faire confiance ? Les consommateurs-trices suisses ont vu apparaître un nouveau logo, le « Nutri-score ». Sur quoi se base-t-il pour évaluer les produits ? Pourquoi une bonne partie de l’industrie agro-alimentaire n’en veut-elle pas ? Des réponses dans cette émission.
Mieux manger en connaissance de cause
Pour comparer les produits entre eux, les consommateurs ont la possibilité de scanner les étiquettes depuis des applications installées sur leurs smartphones. Ces applications se basent entre autres sur le Nutri-score. Ce nouveau logo reprend toutes les informations, comme la teneur en graisse, protéines, fibres, sucre ou sel indiquées sur les étiquettes et en déduit une note globale synthétique, représentée sous la forme d’une échelle qui passe du vert au rouge et de A à E.
Sur le plateau de l’émission, Manuelle Pernoud s’entretient avec la conseillère nationale PLR Isabelle Moret, également Présidente de la Fédération des Industries Alimentaires Suisses (FIAL). Une discussion autour du logo Nutri-score que l’Office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV) a décidé récemment de recommander aux entreprises suisses. Il faut noter cependant que certains grands commerces de détails suisses restent à ce jour convaincus que l’étiquetage nutritionnel actuel des produits alimentaires est suffisant pour informer le consommateur.
Les ados et la nourriture
Tom, 17 ans et Elaia, 13 ans questionnent leurs amis. Quel budget ont-ils à disposition pour manger à l’extérieur de leur domicile ? Est-ce qu’ils font attention à ce qu’ils mangent ? Et est-ce qu’ils regardent les étiquettes ?
Des panneaux sur mon toit, des soucis en plus !
Le solaire a le vent en poupe et les panneaux photovoltaïques fleurissent sur les toits. Des sociétés spécialisées dans l’énergie solaire s’implantent en Suisse pour profiter de ce marché en pleine expansion, certaines font très bien leur travail, d’autres n’ont pas forcément les compétences techniques requises ou connaissent des erreurs de jeunesse. Un téléspectateur d’A Bon Entendeur a découvert que le diable peut se cacher dans de gros détails et il n’est pas le seul !
Arnaques en tous genres !
On dit souvent que l’imagination des escrocs est sans limite ! Il y a des exceptions, ABE mettra le doigt sur deux types d’arnaques tout sauf récentes mais qui continuent de fonctionner.