Et bien dansez maintenant ! (4/5)
Ce que la danse dit de nous.
Quand la société était collective, paysanne ou villageoise, les danses réunissaient les gens, les voisins, dans des rondes. Quand le couple est devenu l’élément principal, les danses de salon ont connu leur âge d’or. Et avec l’avènement de l’individualisme et de la libération sexuelle, on s’est mis à danser seul.
Voici en résumé quelques-unes des observations de Christophe Apprill, sociologue, auteur notamment de "Sociologie des danses de couple" (éd. L’Harmattan) mais aussi danseur, qui aime le tango au point de le faire descendre dans les rues de Marseille. Et c’est à Marseille que Sonia Zoran l’a retrouvé, pour parler de la danse et de ses codifications qui permettent de se rencontrer, ou pas.
Causerie sur un banc du parc Longchamps, après avoir passé la nuit au Trolleybus, la discothèque sur le Vieux-Port qui réunit trois clubs, et dans laquelle Yann Cloître, l’un des deux patrons, observe la fête vue par les jeunes d’aujourd’hui.
Quand la société était collective, paysanne ou villageoise, les danses réunissaient les gens, les voisins, dans des rondes. Quand le couple est devenu l’élément principal, les danses de salon ont connu leur âge d’or. Et avec l’avènement de l’individualisme et de la libération sexuelle, on s’est mis à danser seul.
Voici en résumé quelques-unes des observations de Christophe Apprill, sociologue, auteur notamment de "Sociologie des danses de couple" (éd. L’Harmattan) mais aussi danseur, qui aime le tango au point de le faire descendre dans les rues de Marseille. Et c’est à Marseille que Sonia Zoran l’a retrouvé, pour parler de la danse et de ses codifications qui permettent de se rencontrer, ou pas.
Causerie sur un banc du parc Longchamps, après avoir passé la nuit au Trolleybus, la discothèque sur le Vieux-Port qui réunit trois clubs, et dans laquelle Yann Cloître, l’un des deux patrons, observe la fête vue par les jeunes d’aujourd’hui.