Le Journal du matin

Présenté par Valérie Droux.

Par Jean-François Moulin.

Le Vatican n’apprécie pas trop les libertés prises par certaines factions vis-à-vis de la doctrine officielle de l’Eglise catholique. Rome vient ainsi de rappeler à l’ordre l’organe central des religieuses des Etats-Unis, le LCWR. Par Bernard Litzler.

Par Stéphane Deleury.

Internet, c'est grand. Tellement grand que nous ne parcourrons finalement qu'une toute petite partie de la toile en surfant, comme nous le faisons, via des moteurs de recherche. Mais derrière l'Internet visible, il y a l'invisible, un espace que s'approprient progressivement différents acteurs: trafiquants d'armes, de drogue ou encore réseaux terroristes. Invité: Nicholas Giannakopoulos, président de l'Observatoire du crime organisé à Genève.

Antonio Vivaldi "Stabat Mater" Jean-Sebastien Bach, Concerto pour violon en mi majeur BWV 1042 Rameau "Les Indes Galantes"

Présenté par Didier Duployer.

La librairie lyonnaise Decitre organise en ce moment la résistance contre la domination des nouveaux géants du livre numérique que sont Amazon ou encore Apple. Fondée en 1907, cette entreprise familiale vient de lancer le TEA, la première plateforme "open source" en matière de distribution d'ouvrages, et libère ainsi le livre de son support de lecture. Invité: Guillaume Decitre, PDG de la chaîne de librairies "Decitre", fondateur du TEA, The Ebook Alternative.

Cinquième économie de la zone euro, les Pays-Bas ne croulent pas sous le fardeau de la dette: pourtant ils ne sont pas épargnés par la crise budgétaire. Le premier ministre néerlandais Mark Rutte a présenté lundi la démission de son gouvernement. Il fallait dégager près de 20 milliards de francs d’économie pour ramener le déficit budgétaire sous les 3% du PIB, conformément au pacte européen de stabilité: mais l’opposition du leader populiste Gerd Wilders s’opposait à ces coupes, précipitant du coup la crise politique. L’analyse de Thjis Berman, député européen social démocrate hollandais.

L’obésité serait une question d’évolution: en passant des steppes africaines aux pays de Candy, l'être humain est aussi passé des famines à l'abondance. Et il n'est toujours pas génétiquement programmé pour refuser des calories lorsqu'elles sont à portée de main. Les gênes influencent clairement le comportement alimentaire. Invité: le docteur Vittirio Giusti, responsable de la consultation obésité et troubles alimentaires du CHUV et Gérard Apfeldorfer, psychiatre, spécialistes des troubles alimentaires. Extraits de « Le pari » et « Mince alors ».

Un commentaire de Chrystel Domenjoz. Le débat continue sur http://signature.rts.ch

Didier Cossin, directeur du centre de gouvernance à l'IMD (International Institute for Management Development à Lausanne), donne des conseils aux membres de conseils d'administrations des plus grandes entreprises dans le monde entier. Il a également été professeur de finance à l'IMD. Il aborde dans cet interview des questions aussi brûlantes que la rémunération des dirigeants, les écarts croissants des salaires, l'éthique des entreprises, les difficultés de la place financière suisse et les fraudes fiscales.

Lundi, les places financières européennes ont perdu du terrain: la Bourse suisse a terminé sur une baisse de 1,97%, Francfort se repliant de 3,36% et Milan de 3,83%. Cette baisse suggère des signes d'inquiétude sur l'Europe: serait-ce un retour des euro-sceptiques? Invité: Jean-Marc Guillot, directeur à Merrill Lynch Suisse.

Présenté par Laurence Milasevic.

"Les petits enfants n'ont pas à recevoir des cours d'éducation sexuelle à l'école." Ce credo de l'initiative populaire lancée la semaine dernière par un groupe de parents bâlois est soutenu par la droite conservatrice. A l'origine du débat, il y a la "Sex-Box", cette boîte d'accessoires pédagogiques diffusée à Bâle, contenant des organes sexuels en peluche ou en bois. Les initiants veulent interdire tout cours d'éducation sexuelle avant 9 ans. Selon eux, cette tâche est l'affaire des parents. Les professionnels romands de l'éducation sexuelle rappellent pourtant qu'une dispense de cours est déjà possible aujourd'hui. Sur le fond, ils se demandent si on peut vraiment faire de la prévention contre les abus sans nommer les choses. L'école est-elle coupable de trop sexualiser les enfants?