Le 12h30

En tennis, Roger Federer tente ce dimanche d'apporter un troisième point à l’équipe de Suisse de Coupe Davis, synonyme de maintien dans le groupe mondial. Le Bâlois affronte Robin Haase sur la terre battue d’Amsterdam dans le cadre du barrage de promotion-relégation face Pays-Bas. Le numéro un mondial se rachète-t-il de sa contre-performance en double de samedi aux côtés de Stanislas Wawrinka? Par l'envoyé spécial de RTSsport à Amsterdam, Romain Roseng.

L'objectif à atteindre pour plus de la moitié des polices cantonales suisses cette année est 8% d'amendes en plus par rapport à 2011, soit 23 millions de francs supplémentaires. Dans une enquête conjointe du Matin Dimanche et de la Sonntagszeitung, on apprend que ces montants ont été inscrits aux budgets 2012 de ces polices dans le but plus ou moins avoué est de combler certains déficits publics. Par Valérie Hauert.

Les grandes enseignes étrangères de distribution peuvent désormais s'implanter en Inde. Le gouvernement indien l'a autorisé ce vendredi dans le cadre d'une série de réformes économiques. Des réformes destinées à ouvrir davantage le pays aux investissements étrangers. Par le correspondant de RTSinfo à Bombay, Sébastien Farcis.

Des chercheurs bâlois pourraient avoir fait un pas vers la guérison d'une forme d'autisme. Un enfant sur cent développe des troubles de type autistique, selon l'Université de Bâle. Ces travaux, considérés comme un pas important vers un traitement médicamenteux, sont publiés dans la revue scientifique "Science". Par Muriel Ballaman.

Faites vos jeux, rien ne va plus! Le XXIe siècle nous cueille désorientés et inquiets, aimantés à nos écrans, bousculés par la révolution numérique et incapable de nous projeter dans l'avenir. Donc déjà fatigués? Le constat est-il trop sombre? Le catastrophisme semble pourtant sceller le sort d'un siècle encore jeune et que Jean-Louis Servan-Schreiber qualifie de "déjà si différents des autres". Dans son dernier essai, il accompagne ce constat d'un avertissement, "le no futur est une position infantile". Et si les prochaines décennies étaient porteuses d'une fécondité historique étonnante, d'une nouvelle Renaissance? Saurons-nous construire un monde meilleur à défaut du meilleur des mondes? Jean-Louis Servan-Schreiber dresse l'inventaire des bonnes raisons d'aimer, quand même, le XXIe. Sans nostalgie et sans refuser l'espoir, parce que "chaque époque a sécrété ses poisons, mais aussi ses antidotes". Invité: Jean-Louis Servan-Schreiber, directeur du Magazine Clés, essayiste.