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Le canton de Berne a lancé lundi une campagne de sensibilisation à l'exécution des peines en milieu ouvert. Cette campagne a été présentée à l'établissement de Witzwil, dans le Seeland, où l'on applique ces détentions qui favorisent la réinsertion sociale du détenu. Par Alexandra Richard.

Le Festival international du film de Locarno a rendu hommage lundi soir au comédien américain et chanteur Harry Belafonte. Le créateur de la célèbre chanson "Matilda" a également été l'un des premiers acteurs noirs à jouer à Hollywood. Michel Masserey l'a rencontré peu avant son arrivée sur la Piazza Grande. Son interview.

Pour doper son tourisme, le Valais propose désormais une application pour smartphones. Gratuite, "Valais terroir" propose plus de 300 adresses. Un nouveau guide édité à 30’000 exemplaires est également sur le marché. L’interview de Malvine Moulin, responsable du projet agrotourisme à la Chambre valaisanne d'agriculture.

Après avoir longtemps boudé le commerce électronique, les marques de luxe misent massivement sur les boutiques en ligne. Dernier exemple en date: le géant français PPR vient de s'allier avec l'italien Yoox, l'un des leaders du secteur. Par Yann Amedro.

Un nouveau site de vidéos à la demande sera lancé sur le Web en octobre en Suisse. Baptisé Lekino.ch, il a été présenté lundi en marge du Festival du film de Locarno. Ce site repose sur un accord passé avec la Société suisse des auteurs. Il proposera des films à peine sortis en salle ou tout juste présentés dans les festivals. Par Alexandre Habay, avec l’interview d’Alessandra Moresco, une des responsables de Lekino.ch.

Les cavaliers suisses terminent à la quatrième place de l'épreuve olympique de saut d'obstacles à Londres. La compétition a été remportée par la Grande-Bretagne devant les Pays-Bas et l'Arabie saoudite. Malgré sa déception, le Jurassien Steve Guerdat se veut confiant en vue de la finale individuelle de mercredi. Son interview. -\tA mettre sur la story : « Les cavaliers suisses échouent à la pire des places »

Plus d'un quart des salariés dans le monde (26%) déclarent ne pas avoir la permission de leur patron pour regarder les événements sportifs pendant les heures de travail. C'est devenu une habitude, pour ne pas dire une variable du monde du travail: le sport se regarde au bureau plus ou moins en cachette. Confrontée à l'ampleur du phénomène, l'entreprise doit-elle interdire cette pratique? En Suisse, dans l'administration fédérale ou dans de grandes entreprises comme Philip Morris, on se refuse à donner ce genre de mot d'ordre. Par Jacques Allaman.