Sexe chez les séniors

Qui dit vieillesse dit corps qui change : rides, affaissements, embonpoint. Mais les maux peuvent être plus graves, par exemple suite à un cancer. Comment se réapproprier une sexualité quand on est touché dans son intimité ? Le centre de la prostate du CHUV organise des consultations pour tout ce qui touche à la fonction érectile.

©Lucia Sillig

La retraite amène aussi certains luxes. Les enfants ont quitté le nid, fini le métro-boulot-dodo. C’est l’occasion d’être à l’écoute de soi-même, d’explorer d’autres facettes de sa sexualité. Monique et Franz ont découvert le tantrisme et le slow sex il y a deux ans. Jane, elle, pratique le shibari, un art japonais qui consiste à être attaché avec des cordes. Pour elle, c’est comme « une bouteille de champagne qui explose ».

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Passé soixante-cinq ans, les femmes célibataires sont deux fois plus nombreuses que les hommes sans partenaire. Sont-elles heureuses de cette liberté retrouvée ? Quelle importance accordent-elles aux hommes ? Et le sexe dans tout ça ? Odile cherche une relation sérieuse. Edvina partage son quotidien avec un homme marié depuis presque vingt ans. Quant à Nathalie, elle se dit comblée par sa vie actuelle, même si la porte n’est pas fermée.

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L’arrivée en EMS est synonyme de perte de liberté et d’encadrement par du personnel soignant. Ce personnel au cœur de l’intimité des personnes âgées est-il réellement à l’écoute de leurs besoins affectifs et sexuels? L’Héviva, l’association vaudoise des institutions médico-psycho-sociales, organise une formation complète de trois jours sur ce sujet.

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L’entrée en institution se fait souvent à un âge avancé, quand les problèmes de santé sont conséquents. Georges et Suzanne ont 64 ans de mariage. Werner et Gisela, eux, se sont rencontrés à l’EMS Val-Fleuri. À quoi ressemble la vie intime de ces couples ? Est-ce que le sexe fait partie de leurs préoccupations quotidiennes ?

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