La toxine botulique est devenue célèbre dans son usage esthétique. Les injections se sont banalisées et ceux qui en font usage n'ont plus de complexes ou de honte à en parler ouvertement. Entre de bonnes mains, des produits comme le Botox sont assez sûrs. A tel point qu'ils sont de plus en plus souvent utilisés en médecine où ils rendent de grands services aux patients. Enquête et témoignages sur une substance à la réputation de moins en moins sulfureuse. Une dépression autour de la naissance d'un enfant n'est pas rare. Le phénomène touche une femme sur 8 et près d'un homme sur 10. Mais le mal est rarement reconnu, rarement diagnostiqué et donc mal soigné. La dépression du postpartum n'est pas à confondre avec le bénin « baby blues ». Elle est le résultat d'une combinaison de différents facteurs de risque et plonge les parents dans de profondes souffrances qui peuvent affecter toute une famille.
Ce botox qui nous veut du bien - La face cachée du baby blues
Ce botox qui nous veut du bien
La toxine botulique est devenue célèbre dans son usage esthétique. Les injections se sont banalisées et ceux qui en font usage n’ont plus de complexes ou de honte à en parler ouvertement. Entre de bonnes mains, des produits comme le Botox sont assez sûrs. Ils sont par ailleurs de plus en plus souvent utilisés en médecine où ils rendent de grands services aux patients.
Le botox, ou plutôt la toxine botulique, est surtout connue pour ses vertus esthétiques. Son utilisation "anti-rides" a commencé dans les années 90. Son marché se chiffre en milliards et la demande ne cesse de croître. Comment agit cette toxine? Comporte-elle des risques? 36,9° répond à ces questions et s’intéresse en deuxième partie du reportage à l’usage médical du botox. Clignements exagérés de paupières, contractions musculaires incontrôlables, incontinence urinaire… ce produit ne cesse d’élargir ses champs d’applications. Des traitements pour d’autres pathologies, comme la migraine, sont encore en phase de validation. Enquête et témoignages sur une substance à la réputation de moins en moins sulfureuse.
La face cachée du baby blues
Une dépression autour de la naissance d'un enfant n'est pas rare. Le phénomène touche une femme sur 8 et près d'un homme sur 10. Mais le mal est rarement reconnu, rarement diagnostiqué et donc mal soigné. La dépression du postpartum n'est pas à confondre avec le bénin « baby blues ». Elle est le résultat d'une combinaison de différents facteurs de risque et plonge les parents dans de profondes souffrances qui peuvent affecter toute une famille.