Arrière de la pochette de l'album Kaya de Bob Marley. [CC-By-SA - vinylmeister]

Stupéfiant!

Depuis que la musique existe, des formes de censures, plus ou moins élaborées et revendiquées, ont tenté et parfois réussi à la faire taire. Qui décide de la censure ? Le pouvoir, étatique, institutionnel ou privé. Les raisons évoquées pour justifier ces décisions liberticides sont toujours dʹorigines idéologiques. Sur tous les continents, à toutes les époques, des compositeurs, paroliers, interprètes ont subi de manière ponctuelle ou définitive des interdictions dʹenregistrement, de représentation publique, de vente dʹalbum, de diffusion radio ou télé. LISTE NOIRE vous raconte lʹhistoire de ces musiques interdites.
Si, dans lʹimagination collective, on associe logiquement la marijuana à la musique reggae mais aussi au jazz et au folk, à chaque genre musical correspond sa drogue.
Et certains artistes se sont fait un devoir de chanter ses vertus, soit en en demandant sa légalisation, soit en incitant à sa consommation. Pour ce dernier épisode de LISTE NOIRE, nous parlons de ganja, de cocaïne, dʹacide, dʹhéroïne, de kétamine et même... de champignons hallucinogènes !

Extrait de la programmation musicale :
Peter Tosh : Legalized it.
The Byrds: Eight miles high.
Alain Kan: Speed my speed.
Billy ze Kick et les gamins en folie : Mangez-moi, mangez-moi !
Placebo : Special K.
Stupéfiant!