Photographie (négatif) faite lors des fouilles du temple du roi Montouhotep Nebhépetrê à Deir el-Bahari en 1905. Edouard Naville et une femme (Marguerite Naville ?) posent derrière une des grandes parois du sarcophage de Kaouit, découvert à Deir el-Bahari. [Musée d'art et d'histoire, Genève - Orme]

L’Egypte des pharaons, éternelle fascination (1/5) - Les Naville et l’égyptologie

Depuis l’Antiquité, la civilisation pharaonique a exercé une véritable fascination sur l’Occident et a captivé les archéologues comme les conquérants. L’année 2022 marque le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Champollion et le centenaire de la découverte de la célèbre tombe de Toutankhamon. A cette occasion, Histoire Vivante revient sur cette passion millénaire pour l’Egypte antique.

Henri-Édouard Naville (1844-1926) est l'un des fondateurs de l'égyptologie en Suisse et figure parmi les pionniers de la discipline. Sa personnalité, comme celle de son épouse Marguerite, sont omniprésentes au sein des collections pharaoniques du Musée d’Art et d’Histoire de Genève, notamment à travers leurs archives.
Pour mieux les connaître, nous ouvrons quelques cartons conservés aux archives du musée en compagnie de l’égyptologue Jean-Luc Chappaz, ex-conservateur en chef du département d’archéologie du Musée d’Art et d’Histoire de Genève, et Audrey Eller, égyptologue, maître assistante à l’Université de Genève. Ils sont au micro de Laurent Huguenin-Elie.


Dimanche 6 novembre à 22h20 sur RTS Deux vous pourrez voir le documentaire "Egypte - Les temples sauvés du Nil". Disponible dès maintenant en cliquant ci-contre.


Photographie (négatif) prise lors des fouilles du temple du roi Montouhotep Nebhépetrê à Deir el-Bahari en 1905. Edouard Naville et une femme (Marguerite Naville ?) posent derrière une des grandes parois du sarcophage de Kaouit, découvert à Deir el-Bahari.(© Orme/MAH Musée d'art et d'histoire, Ville de Genève)
L’Egypte des pharaons, éternelle fascination (1/5) - Les Naville et l’égyptologie