Vertigo

Le photographe Matthias Bruggmann est le lauréat de la deuxième édition du Prix Elysée pour son projet sur la Syrie. Souhaitant "susciter, chez un public occidental, une compréhension viscérale de la violence intangible qui sous-tend tout conflit", il fait le pari de ne rien voiler de ses images, explicites et brutales. Réalisées sur le terrain, elles enjoignent le spectateur de ralentir, et de prendre la mesure dʹun conflit - certes géographiquement lointain, mais rendu omniprésent dans les médias. L'exposition "Un acte dʹune violence indicible" est à découvrir au Musée de L'Elysée jusqu'au 27 janvier 2019 à Lausanne. L'exposition est accompagnée d'une publication éponyme (Editions Xavier Barral & Musée de lʹElysée) avec textes de spécialistes et dʹacteurs du conflit syrien.

Matthias Bruggmann est l'invité de Pierre Philippe Cadert.

Que peuvent bien se dire deux artistes quand ils se rencontrent? Quand lʹun est mort à la fin des années 60 et que lʹautre est bien vivant? Quand lʹun est homme, un monstre sacré de lʹhistoire de lʹart et lʹautre une femme engagée, lʹune des plus grandes plasticiennes françaises? Eh bien plein de choses... cʹest ce que dira Annette Messager à Ariane Hasler...

L'exposition "Nos chambres" est à voir jusquʹau 13 janvier 2019 à lʹInstitut Giacometti à Paris.

"Cʹétait juste pour mʹamuser! " Lʹun des deux jeunes Français à lʹorigine du "défaçage" de Youtube du clip " Despacito " en avril dernier a, en effet, fait rire une partie de la planète mais pas la justice de son pays. Lui et son comparse sont jugés ce mardi à Paris pour, entre autres "accès et maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données". Coup de maître de hacker pro ou potacherie sans gravité? Questions posées à Nicolas Capt, avocat spécialiste du numérique.

Par Magali Philip.

Dans ce roman, Emmanuelle Bayamack-Tam aborde une multitude de sujets contemporains: le spécisme, le réchauffement climatique, les hommes, les femmes, les migrants, c'est sacrément bien écrit, c'est drôle, c'est fou, et tout ça dans un monde sans téléphone portable et sans tablettes.

Un sujet de Christine Gonzalez