Thématique magnétique

Quand les musiciens s'engagent pour des causes
"Rose incandescente", un extrait du concert donné au Festival Agapé
Portrait de la percussionniste Keiko Abe

Organiser des concerts de piano à Haïti, jouer au pied du mur qui sépare le Mexique des Etats-Unis ou encore composer des oeuvre sur la tragédie nucléaire de Fukushima, nombreuses sont les causes pour lesquels les artistes s'engagent. L'art consolateur, l'art comme créateur de lien ou d'expression de la douleur et de la peur.
Qu'est-ce qui pousse un artiste à s'engager pour une cause? Quelle influence sur sa création artistique? Quel accueil pour cet engagement?
Dominique Balaÿ est l'invité de Magnétique, créateur du site webSYNradio et du projet "Meanwhile, in Fukushima...", avec la participation des créatrices sonores et compositrices Roxanne Turcotte, Aurélie Lierman et Emmanuelle Gibello, ainsi que de la pianiste Célimène Daudet.
Une proposition d'Anne Gillot et David Chritoffel.

Son nom est indissociablement lié à celui du marimba, elle a popularisé l’instrument, elle a même contribué à le redéfinir quand elle a aidé à concevoir le premier marimba d’une tessiture de cinq octaves.
Elle était à Lausanne justement pour fêter ses 80 ans à l’invitation du Tchiki Duo, composé de Jacques Hostettler et Nicolas Suter. Pour la quatrième fois, Keiko Abe vient mener une académie de marimba qui porte son nom: KALIMA, Keiko Abe International Marimba Academy.
Avec cette académie internationale et de nombreux concerts, Lausanne est, cette semaine encore, la capitale du marimba.
Une rencontre-portrait proposée par Benoît Perrier.