Le 12h30

Le second départ de la Patrouille des Glaciers a été annulé ce samedi matin, pour cause de mauvais temps. Près de 2'500 concurrents ont ainsi dû renoncer au départ par mesure de sécurité.

A Winterthur, le président du PDC Christophe Darbellay fait ses adieux devant les délégués de son parti. Ils sont 370 réunis ce samedi pour élire le successeur du Valaisan. Un seul candidat est en lice: le conseiller national zougois Gerhard Pfister.

Une vingtaine de députés neuchâtelois, à la tête desquels se trouve le médecin et député vert Laurent Kaufmann, demandent une taxe sur le sucre pour combattre l'épidémie d'obésité et de diabète, deux maladies qui concernent près de deux Suisses sur cinq.

Elle a 70 ans ce samedi et elle ne s'est jamais portée aussi bien. La Vespa – la guêpe en italien – est une icône indémodable. Il s'en vend aujourd'hui trois fois plus qu'il y a dix ans.

Pour honorer la mémoire du dramaturge anglais, un spectacle géant et plusieurs expositions ont été mises sur pied ce samedi, dont "Shakespeare en 10 actes". Cette exposition, visible à la British Library de Londres, se penche sur 10 représentations qui ont fait de Shakespeare la légende qu’il est aujourd’hui.

Cela fait plus de deux semaines que Nuit debout a pris ses quartiers sur la place de la République, à Paris. Des centaines de personne s’y retrouvent tous les soirs. Et le mouvement a commencé à essaimer dans différentes villes de France, à Marseille, Toulouse, Strasbourg, Grenoble, Lyon... Mais ce forum citoyen, spontané, horizontal, et sans leader reste fragile. Menacé par des débordements de violence, mis sous pression par les autorités politiques, Nuit debout peine à rallier les banlieues, à sortir du monde associatif, à réaliser cette "convergence des luttes" à laquelle il aspire. Où va Nuit debout? Faut-il que le mouvement intègre une force politique pour exister? Est-il plutôt Podemos ou Occupy Wall Street?