Le 12h30

Au Népal, les milliers de rescapés du séisme de samedi sont rassemblés dans des campements de fortune. Ils attendent l'eau potable, qui manque dans la capitale et qui doit être distribuée par camion. Les 6500 blessés attendent aussi des secours, alors que le bilan fait état de 3600 morts. L'aide humanitaire suisse est arrivée sur place. Par l'envoyé spécial de RTSinfo au Népal, Raphaël Grand.

Vincent Luisier est médecin à l'hôpital géré par la Fondation Nicole Niquille, l'alpiniste suisse, à Lukla. L'établissement se situe sur un point de passage habituel pour les touristes qui visitent l'Himalaya, et notamment l'Everest. Vincent Luisier témoigne de l'ampleur des dégâts causés par le séisme au Népal.

Le trafic des pendulaires romands était sérieusement perturbé lundi matin, suite au déraillement d'un train de marchandises à Daillens (VD) samedi. La voie entre La Sarraz et Cossonay est interrompue. Les voyageurs yverdonnois ou neuchâtelois ont subi d'importants retards, tout comme les usagers de la route. L'interview de Frédéric Revaz, porte-parole des CFF.

Après les attentats en France, au Danemark, en Tunisie ou encore au Yémen, plus de 170 magistrats et acteurs de la lutte antiterroriste en provenance de plus de 30 pays se réunissent dès lundi à Paris, pour une rencontre de trois jours. Celle-ci est organisée par le ministère de la Justice et par l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ).

Les apprentis ne doivent plus tolérer les abus dont ils sont victimes et se battre pour leurs droits. C'est l'appel lancé lundi matin à Berne par la jeunesse socialiste suisse. Celle-ci lance une campagne nationale avec pour objectif de mettre la question des apprentis à l'agenda politique.

Selon les spécialistes, le pays va manquer cruellement d'eau ces prochains mois et assurément l'an prochain. Depuis novembre dernier, les autorités à Sao Paulo ont déjà dû couper l’eau plusieurs heures par jour. La société brésilienne ne prend apparemment pas conscience de la gravité du problème.

L’histoire des orphelins qui étaient misés aux enchères descendantes dans les villages fribourgeois est une triste page sociale de notre pays. Ils étaient placés chez ceux qui demandaient le moins d’argent à la commune pour leur entretien. Une étude a été menée dans huit communes du canton sur une période allant de 1850 aux années 1920. Comment et pourquoi cette pratique a-t-elle été admise? Et pourquoi a-t-elle été si lente à disparaître? Professeur émérite d’histoire contemporaine, Francis Python est co-auteur d’un livre intitulé "Enfants à louer - Orphelins et pauvres aux enchères", publié par la Société d’histoire du canton de Fribourg.