Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Iphigénie à GenèveA l’affiche depuis le 25 janvier et jusqu'au 4 février, le 1er grand opéra de la saison 2015 au Grand Théâtre de Genève, "Iphigénie en Tauride" de Gluck déroule durant 4 actes sa tragédie.
Nouvelle production, très attendue, avec l’Orchestre de la Suisse Romande dirigé par Hartmut Haenchen, et une mise en scène par Lukas Hemleb, donc plutôt hors des sentiers battus… Critique par Isabelle Carceles. - L'éternel retour des barbaresAu lendemain des attentats de Paris, un mot revient en boucle dans les médias pour qualifier les terroristes, celui de barbares. Que cache ce consensus? Qui sont les barbares dans notre imaginaire collectif?
Les assassins fanatisés qui combattent au nom d'Allah doivent-ils être ainsi exclus de l'humanité? Ou incarnent-ils plutôt la banalité du mal , ainsi que l'avait définie la philosophe Hanna Arendt à propos du nazisme? Par Nicole Duparc. - Le tatouage contemporain - Valérie RolleDepuis quelques décennies, la pratique du tatouage a droit de cité sur les peaux. Valérie Rolle, sociologue à l’Université de Lausanne explore ces questions pour mieux comprendre ce qu’une pratique de modification corporelle comme le tatouage peut nous dire de la relation que nous entretenons aujourd’hui à nos corps, à la culture et à l’art.
Valérie Rolle a publié "L’art de tatouer" (La Maison des sciences de l’homme, 2013) et donne une conférence le 29 janvier 2015 au Club 44 à La Chaux-de-Fonds. - Lionel Duroy, "Echapper" (Julliard)"Echapper" est le roman de plusieurs passions, celles de lʹamour, de la littérature, de lʹécriture, mais aussi le roman dʹun roman, celui de Sigfried Lenz: "La leçon dʹallemand".
Une interview de Christine Gonzalez. - Charles Joris, le Théâtre Populaire Romand pour réveiller la vie (2/5)Décédé dans sa huitantième année le 16 janvier 2015, le fondateur du TPR à La Chaux-de-Fonds, avec le dramaturge Bernard Liègme et le comédien Roger Jendly, fut une personnalité de la culture romande.
À force de ténacité, d'exigence et de réussites publiques, Joris a durablement marqué les scènes romandes, mais a su exporter avec bonheur le théâtre suisse à l'étranger.