"Rome-Nanterre" à Vidy
Dans "Rome-Nanterre", la comédienne Dominique Reymond enfile diverses tenues et perruques pour brosser sept autoportraits qui se définissent par bribes et indices. Un spectacle patchwork signé Gian Manuel Rau, à partir des textes de Valérie Mréjen, auteur qui est aussi photographe et plasticienne. A découvrir au Théâtre de Vidy-Lausanne, jusqu’au 20 décembre 2013.
La critique de Marie-Pierre Genecand.
La critique de Marie-Pierre Genecand.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- "Rome-Nanterre" à VidyDans "Rome-Nanterre", la comédienne Dominique Reymond enfile diverses tenues et perruques pour brosser sept autoportraits qui se définissent par bribes et indices. Un spectacle patchwork signé Gian Manuel Rau, à partir des textes de Valérie Mréjen, auteur qui est aussi photographe et plasticienne. A découvrir au Théâtre de Vidy-Lausanne, jusqu’au 20 décembre 2013.
La critique de Marie-Pierre Genecand. - Midi, ThéâtreUn rendez-vous gourmand et convivial, une dégustation de la création romande.
Sept théâtres de sept villes romandes proposent au public un nouveau rendez-vous théâtral et gourmand, à déguster sans modération: Midi, théâtre! Aller au théâtre à midi? Une idée saugrenue? Et pourtant… - Nouveauté du disque (2/2)Quand Anne-Sofie von Otter regarde du côté de la chanson française.
Isabelle Carcélès nous propose de découvrir "Douce France", un double CD où la mezzo-soprano suédoise aborde les mélodies françaises du XIXe siècle, mais aussi la chanson, de Ferré à Moustaki. - "Amphitryon" à la Comédie de GenèveDu Molière. Moins connu que l’Avare ou Tartuffe mais ô combien jouissif et rieur. Amphitryon est courageux guerrier et brave mari. Mais que faire lorsque Jupiter décide de lui emprunter son physique pour séduire sa belle Alcmène? Est-on alors béni des Dieux ou juste cocu? Un Molière à découvrir à la Comédie de Genève jusqu’au 21 décembre 2013.
Un Molière qui mérite mieux, selon Thierry Sartoretti. - Bernard Haller, gugusse genevois (4/5)Peu inspiré par la Suisse.
À la manière de Grock avant lui, ou de Dimitri après lui, Haller s’est inspiré de types universels et pas du tout de personnages du terroir helvétique. Cette universalité lui a ouvert les portes africaines, londoniennes et bien sûr françaises, l’Hexagone où il puisa tout de même une majorité de situations comiques.
Bernard Haller répond au courrier des auditeurs par Robert Burnier ("Lettres ouvertes", RSR I, 15 décembre 1974). Sur son spectacle "Vis-à-vie" avec Patrick Ferla ("Témoins subjectifs", RSR I, 6 décembre 1983)
Par Bruno Séribat et Christian Ciocca