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Une majorité des parlementaires bernois aux chambres fédérales ont montré hier leur solidarité avec le Jura bernois. La plupart d'entre eux ont signé un communiqué de presse qui souligne l'importance du bilinguisme dans le canton de Berne. Mais problème: ils l'ont fait après une rencontre avec les milieux probernois, qui a eu lieu mardi. Les autonomistes projurassiens n'y ont pas été conviés. Le conseiller aux Etats Hans Stöckli se défend cependant d'être probernois.

Selon les informations de la RTS, la procédure d'évaluation des avions de combat aurait été menée avec professionnalisme. Soupçonnée de fortes irrégularités, la procédure d'évaluation des avions de combat bouclée l'automne dernier par le Département fédéral de la Défense se serait déroulée correctement. La sous-commission parlementaire qui enquête sur le sujet n'aurait pas découvert d'élément suffisamment solide pour remettre en cause le choix du Gripen. Ueli Maurer n'aurait donc pas grand-chose à se reprocher. Les explications de Christian Favre.

Aung San Suu Kyi a rencontré Didier Burkhalter hier. La Suisse versera 25 millions par an pour soutenir notamment la formation professionnelle. Le Prix Nobel s'est dit impressionnée par le modèle suisse. Les explications de Chrystel Domenjoz, avec une déclaration d'Aung San Suu Kyi.

Sotheby's met en vente l'un des six uniques ordinateurs personnels Apple-1 encore en état de marche. La vente pourrait atteindre des sommets. Avec elle, l'ordinateur accède presque au statut d'objet d'art. Les explications de Jacques Allaman, avec l'interview d'Yves Bolognini, du musée Bolo à l'EPFL.

La Municipalité de Lausanne a présenté hier sa recette pour limiter la mendicité. L'expérience genevoise montre que la répression n'a pas donné de résultats. Mais les remèdes lausannois ne convainquent pas. Les explications de Mathieu Cupelin, avec l'interview de Doris Leuenberger, de l'association Mesemrom.

Les supporters espagnols sont les plus nombreux à avoir fait le déplacement pour l'Euro. Malgré la crise… Le reportage de Romain Roseng.

Le taux plancher de l’euro à 1 franc 20 est défendu bec et ongle par la Banque nationale suisse (BNS), qui a reçu jeudi l’appui du Conseil national. Les détracteurs de ce taux plancher ont été critiqués. La suppression de ce taux provoquerait une hémorragie d’emplois selon des élus de gauche. Faut-il à tout prix défendre ce taux? Et pendant combien de temps? Faudrait-il créer un fonds souverain avec les réserves de change de la BNS? Du côté de l'UDC, c'est Jean-François Rime, conseiller national UDC et président de l’Union suisse des arts et métiers (USAM) qui avait apporté le soutien du parti l’an dernier à la fixation du taux plancher à 1 franc 20.