Le journal du samedi

On se fait du bien en découvrant un soin ou une méthode de bien-être insolite ou méconnue. Aujourd'hui, Anouck Merz nous emmène chez Phyto Spa à Lausanne.Elle a testé un soin pour le visage à base de fruits, de miel et de boue volcanique. Un drôle de mélange que la directrice des lieux, Marie-Françoise Cadoux, nous fait découvrir.

Depuis quelques jours "Google" s’est mis à l’heure des Jeux olympiques. A la place du logo habituel, le célèbre moteur de recherche propose des dessins, appelés "doodles", qui représentent les épreuves reines.Cette pratique est de plus en plus fréquente. A chaque événement de portée mondiale, le logo se travestit. Qui imagine ces doodles? A quand remonte cette tradition? Didier Bonvin nous dévoile les dessous des petits dessins de "Google".

Comment se fait-il que plusieurs savons à l’apparence très différente puissent tous s’appeler "savon de Marseille"? Est-ce que tous ces savons viennent réellement de la Cité phocéenne? Quelle est la recette traditionnelle de ce savon ancestral? Lavande, fleur de Citronnier, rose, amande douce, huile d’olive… ça sent le sud dans ce dossier préparé par Frédérique Volery et présenté par Stéphane Gabioud.

De plus en plus de noirs, poussés par des marques de soins capillaires, entament leur transition et passent des cheveux lissés, défrisés comme la journaliste Audrey Pulvar à un cheveu plus naturel .Derrière la boule afro, l’envie de rejeter la chimie qui casse l’ADN (pas que du cheveu). Avec Chloé Gagnebin, bloggeuse suisse.

Geneviève Bridel a lu pour vous "Le village de l'Allemand ou le journal des frères Schiller de Boualem Sansal et Guy Schrenzel: "Motherfucker" de Sylvain Ricard et Guillaume Martinez.

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Avec "Les autres", nous prenons le pouls des trois autres régions linguistiques suisses. Tour à tour, nos correspondants alémaniques, tessinois et romanches nous parlent de leurs coins de pays.Aujourd’hui: Daniel Hitzig (DRS) nous emmène à Soleure où les habitants sont orphelins de télésiège pour monter sur le Weissenstein, une crête sur le Jura culminant à 1300 mètres. Depuis 1950 un télésiège permettait d’y accéder. Mais celui-ci ne remplit plus les normes de sécurité et il est à l’arrêt. Entre les tenants de la rénovation et ceux du nouveau projet, les Soleurois ne trouvent pas de consensus et il ne leur reste en attendant pour prendre de la hauteur que la poste.

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