Le Journal du matin

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Présenté par Frédéric Filippin.

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La HES-SO Valais - Domaine santé et social, à Sion voit son secteur "soins infirmiers" équipé depuis cette semaine d'un mannequin haute fidélité, truffé de gadgets, qui permet de simuler des pathologies. Et donc aux étudiants de travailler avec une machine susceptible de leur réserver bien des surprises dans l'apprentissage de leur spécialité. L'école valaisanne de soins infirmiers est l'une des premières de Suisse à posséder un appareil aussi sophistiqué. Invité: Georges Savoldelli, médecin-anesthésiste aux Hôpitaux universitaires de Genève et responsable d'un programme baptisé SimulHug qui vise à améliorer les compétences des professionnels de la santé.

Dans les banlieues françaises, les valeurs de l’islam prennent le pas sur les valeurs de la République. C’est du moins ce que montre une étude menée par le politologue Gilles Kepel et son équipe. Par Gabrielle Desarzens.

Par Christian Favre.

Dans les Temps Modernes, on évoque ce vendredi matin une étonnante découverte scientifique, pour ne pas dire étrange. Deux chercheurs viennent de sélectionner une nouvelle bactérie dont l'ADN est totalement différent de ce que l'on connaissait jusqu'à présent. Une sorte d'Alien de la génétique qui ouvre une boîte de Pandore dans les limites de la recherche. Invité: Dominique Belin, professeur à la faculté de médecine de l'UNIGE, spécialiste en biologie moléculaire et cellulaire.

Joseph Bovet "Nouthra Dona di Maortse" Pierre Kaelin "Adju mon bi payi" Thierry Lang "Adju mon bi payi"

Présenté par Dominique Choffat.

A deux semaines des élections fédérales, les candidats s'activent. Leurs profils Facebook et leurs fils Twitter se garnissent de consignes de votes et de photos d'eux sur les marchés romands. Entre salades et "Votez pour moi", quelle place à l'originalité? C'est la question posée dans ce 4e numéro de Politicus Numericus.

Le nombre de morts civils a augmenté de 15% durant la première moitié de 2011, alors que 2010 a été l’année la plus meurtrière pour les Afghans depuis l’invasion soviétique. Selon l’ONU, la violence augmente dans le pays et la coalition échoue à protéger la population. Après dix ans de conflit, les soldats de la coalition, accueillis en libérateurs, s’aliènent la population. La violence s’étend: le nombre d'"incidents de sécurité" en Afghanistan a augmenté de près de 40% sur les huit premiers mois de l'année, comparé à la même période en 2010, selon un rapport de l’ONU. Menacée par les insurgés, et ne trouvant aucune aide auprès du gouvernement, la population afghane voit l’avenir d’un œil sombre. Par Marie Forestier.

Le génie de Steve Jobs rappelle celui d'un autre Américain: Thomas Edison, l'inventeur qui révolutionna la vie quotidienne il y a plus d'un siècle. Steve Jobs et Thomas Edison partageaient beaucoup points communs, même si Edison, contrairement à Jobs, n'a jamais été un hippie. Par Pierre Bavaud.

Un commentaire de Chrystel Domenjoz. Le débat continue sur http://signature.rsr.ch/

Une vingtaine d’années pour sortir du nucléaire, c’est le défi qui attend la Suisse. La décision politique est tombée, comment désormais la concrétiser, alors qu’aujourd’hui 40% de l’électricité consommée dans notre pays est d’origine nucléaire? Les énergies renouvelables pourront-elles remplacer le nucléaire? Peut-on encore faire des progrès importants dans les économies d’énergie?

Présenté par Valérie Droux.

Les places financières européennes ont clôturé la séance en fanfare jeudi. Londres, Paris et Francfort ont toutes gagné entre 3 et 4%. A Zurich, le SMI a terminé en hausse de 2,4% à 5640 points. Les actions des banques centrales ont réjoui les marchés. L'interview de Catherine Reichlin, responsable du conseil obligataire à la Banque Mirabaud.

Taxer les aliments gras, l'idée fait son chemin en Occident, où l'obésité devient une préoccupation majeure. Le Danemark a introduit depuis samedi dernier une taxe sur les graisses saturées. La Grande-Bretagne y réfléchit. Dans plusieurs pays européens, les boissons sucrées sont déjà taxées pour des raisons de santé publique. La Suisse, elle, ne semble pas pressée de rejoindre le mouvement. La Confédération préfère inciter la population à faire de l'exercice et lui apprendre à s'alimenter sainement. Mais est-ce bien suffisant? La taxe sur la malbouffe est-elle la solution? Le débat entre Nathalie Farpour-Lambert, médecin et présidente du programme de soins Contrepoids aux Hôpitaux universitaires de Genève et Roger Darioli, médecin et vice-président de la Société suisse de nutrition.