Descente en cuisine

Descente en cuisine

le dimanche de 12h à 12h30, du 6 juillet au 24 août

Chaque dimanche, nous nous invitons chez un cuisinier amateur pour préparer la recette de son choix et évoquer son parcours gustatif, depuis les premiers souvenirs gourmands.

Une rencontre baignée d’évocations goûteuses et guidée par le plaisir du partage, le dimanche entre 12h et 12h30 sur La Première.

Cette émission s'est arrêtée le 23 août 2014.

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27.04.2024

Pascal Auberson [rsr - alexandre chatton]

le 24 août 2014

à Lausanne avec Pascal Auberson

Pascal Auberson préfère le piano au piano. C’est ainsi. Après 40 ans de carrière on ne le changera pas.

Mais dans son atelier, à côté de son piano, il y a quand même un piano. Il faudrait plutôt dire une modeste cuisinière qui aurait des choses à dire tant ce lieu en a vu et entendu.

Pascal Auberson [rsr - alexandre chatton]

le 24 août 2014

à Lausanne avec Pascal Auberson

Pascal Auberson préfère le piano au piano. C’est ainsi. Après 40 ans de carrière on ne le changera pas.

Mais dans son atelier, à côté de son piano, il y a quand même un piano. Il faudrait plutôt dire une modeste cuisinière qui aurait des choses à dire tant ce lieu en a vu et entendu.

Jean Studer, président du conseil de la Banque nationale suisse. [Sandro Camparodf]

le 17 août 2014

A Neuchâtel avec Jean Studer

Cuisiner est une passion. Jean Studer explique que, contrairement à ses activités d’avocat ou de politicien, la cuisine amène un résultat immédiat.

A voir le plaisir qu’il prend à déguster, il y a fort à parier que c’est aussi et surtout parce qu’il aime manger. Pas besoin d’insister pour se faire inviter et le mettre au fourneau. Avec soin il a choisi les produits, privilégié les poissons du lac, on ne s’en plaindra pas.

Jean Studer, président du conseil de la Banque nationale suisse. [Sandro Camparodf]

le 17 août 2014

A Neuchâtel avec Jean Studer

Cuisiner est une passion. Jean Studer explique que, contrairement à ses activités d’avocat ou de politicien, la cuisine amène un résultat immédiat.

A voir le plaisir qu’il prend à déguster, il y a fort à parier que c’est aussi et surtout parce qu’il aime manger. Pas besoin d’insister pour se faire inviter et le mettre au fourneau. Avec soin il a choisi les produits, privilégié les poissons du lac, on ne s’en plaindra pas.

René Wanner devant un alambic, avec une bouteille d'absinthe de sa fabrication. [Martial Trezzini]

le 10 août 2014

A Genève avec René Wanner

René Wanner est un sacré garnement. Flic à la retraite, il est aujourd'hui distillateur d'absinthe à Genève. Une vieille tradition qu’il a remise au goût du jour dans ce canton producteur jusqu’à la prohibition.

Rien ne l’amuse plus que toutes ces anecdotes autour des clandestins, et sa recette n’échappera pas à la transgression. Dans les années 80, le président Mitterrand, lors d une visite officielle dans le Jura, se vit proposer un soufflé a l’absinthe alors interdite. C’est ce dessert que nous allons préparer dans la cuisine de René.

René Wanner devant un alambic, avec une bouteille d'absinthe de sa fabrication. [Martial Trezzini]

le 10 août 2014

A Genève avec René Wanner

René Wanner est un sacré garnement. Flic à la retraite, il est aujourd'hui distillateur d'absinthe à Genève. Une vieille tradition qu’il a remise au goût du jour dans ce canton producteur jusqu’à la prohibition.

Rien ne l’amuse plus que toutes ces anecdotes autour des clandestins, et sa recette n’échappera pas à la transgression. Dans les années 80, le président Mitterrand, lors d une visite officielle dans le Jura, se vit proposer un soufflé a l’absinthe alors interdite. C’est ce dessert que nous allons préparer dans la cuisine de René.

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