Le Journal du matin

Présenté par Jérôme Jeannin.

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Faire un apprentissage tout en purgeant une peine de réclusion de plusieurs années dans un pénitencier de haute sécurité est possible, par exemple au pénitencier de La Stampa, au nord de Lugano. Par Nicole della Pietra.

Aux Etats-Unis, les Eglises ont fait plier de grandes banques qui ont abandonné les dettes de certains ménages non solvables. Par Bernard Litzler.

Par Stéphane Deleury.

Fomo, pour fear of missing out, nomophobie, pour no mobile phone phobia, dépression Facebook ou encore syndrome de la sonnerie fantôme: autant de termes apparus ces dernières années pour qualifier des maux typiques de l'ère digitale. Malgré tous les côtés positifs qu'on leur prête, les réseaux sociaux amènent de nouvelles angoisses sur lesquelles les psychologues se penchent. Invité: Yves-Alexandre Thalmann, psychologue.

Présenté par Valérie Droux.

Les causes de l'accident de car qui a coûté la vie à 28 personnes, dont 22 enfants, à Sierre ne sont pas encore connues. La police valaisanne n'écarte pas une "cause humaine". Pour diminuer les risques d'accident liés au conducteur, la recherche se penche aujourd’hui sur de nouvelles techniques qui permettraient de détecter tout signal de défaillance humaine. Une équipe du centre de transport de l'EPFL travaille sur plusieurs projets novateurs dans ce domaine. L’interview de son directeur adjoint Michael Thémans.

L'application de l'initiative Franz Weber acceptée dimanche dernier va être matière à encore bien des débats ces prochains mois. Durant la campagne, les initiants ont souvent cité l'exemple du Tyrol autrichien, où la part des résidences secondaires est limitée à 8%. Sur le papier, la loi est donc encore plus restrictive qu'en Suisse. Mais dans les faits, les autorités sont plutôt souples. Reportage de Rouven Gueissaz à Kitzbühel, en Autriche.

Par Christian Favre.

L'accident d’autocar qui a couté la vie à 28 personnes, dont 22 enfants, mercredi en Valais, a bouleversé l'Europe. Un jour tragique, un événement bouleversant, un drame humain terrible: les responsables politiques ont souligné mercredi, chacun avec leurs mots, la brutalité de cet accident, qui interroge notre rapport à la mort. Invité: Alain de Broca, neuropédiatre et spécialiste du deuil.

Un commetaire d’Urs Gfeller. Le débat continue sur http://signature.rsr.ch

Le 15 mars 2011, des dizaines de manifestants syriens, encouragés par le printemps arabe, descendaient dans les rues de Damas. Un an plus tard, le régime de Bachar al-Assad est isolé, ne peut plus guère compté que sur le soutien de la Russie, mais il tient toujours au prix d’une répression particulièrement brutale. Le dernier bilan de l’ONU fait état de 8000 morts. Il reste très difficile d’obtenir des informations fiables sur la situation à l’intérieur du pays. Mais les exactions du régime ne font pas de doute: soulèvement de Homs écrasé dans le sang, recours systématique à la torture. Amnesty International vient de publier un rapport accablant. L’organisation a documenté l’utilisation de plus d’une trentaine de méthodes de torture.

Les principales places financières européennes ont affiché leur optimisme ce mercredi. A Zurich, le principal indice boursier, le SMI a fini en hausse de 0,65%. Les investisseurs se montrent confiants. L’analyse d’André Keller, responsable de la salle des marchés de la banque en ligne Saxo à Zurich.

Présenté par Frédéric Filippin.

L'accident du car belge dans un tunnel autoroutier à la hauteur de Sierre, mardi soir, aura fait 28 morts, dont 22 enfants, ainsi que 24 blessés, selon le dernier bilan. Les images spectaculaires du véhicule accidenté ont fait le tour du monde. Les témoignages de condoléances ont afflué de partout. Cet accident de la route, l'un des plus graves que la Suisse ait connu, nous rappelle que nous mettons notre vie en jeu à chaque fois que nous circulons. Les mesures de sécurité routière et les efforts de sensibilisation ont permis de faire baisser le nombre de victimes depuis quelques années. Malgré cela, on dénombre toujours plus de 300 morts par an sur nos routes. Faut-il accepter cette fatalité ou croire au risque zéro ?