Regards d'immigrés sur la Suisse

Esther Mveng est une entrepreneure américano-canadienne arrivée à Neuchâtel depuis quelques mois pour créer son entreprise.

Elle est critique sur les démarches administratives et les coûts générés pour implanter son entreprise et dénonce le peu de soutien de l’Etat. Mais elle se montre sinon ravie par de nombreux aspects.

>> Voir aussi la vidéo du Journal du matin, sur les difficultés rencontrées par Estelle Mveng pour créer son entreprise en Suisse. Avec la réaction de Tibère Adler, directeur romand du laboratoire d'idées Avenir Suisse:

Marie Bouvier est une jeune ostéopathe française, qui a terminé sa formation il y a quelques mois.

Elle a donc été engagée pour son premier emploi à Guin, dans le canton de Fribourg, alors que la Suisse est en manque d'ostéopathes.

>> Voir aussi la vidéo du Journal du matin sur les démarches administratives pour s'installer en Suisse :

Olivier Verscheure est directeur exécutif à l’EPFL. Il dirige le nouveau centre suisse des données, le swiss data science center. Il est Belge, a vécu dans plusieurs pays avant de s’établir en Suisse.

Il est venu avec son épouse, Nadia Verscheure, qui est mère au foyer et s'occupe de leurs trois enfants. Ils habitent à Saint-Sulpice.

>> Voir aussi la vidéo du Journal du matin, sur l'intégration professionnelle de ces immigrés, alors que des initiatives sur la préférence nationale font leur chemin dans le pays :

>> Voir aussi la vidéo du Journal du matin, sur leur regard porté sur le système éducatif suisse ainsi que les solutions de garde d'enfants :

Arturo Moreno est technicien des mises en service de trains chez Bombardier. Il est Espagnol, et habite aujourd’hui à Monthey.

Il est venu en Suisse avec sa femme Elena Moneo, psychologue de formation en Espagne, mais aujourd’hui dans l’attente de faire reconnaître son titre universitaire en Suisse. Elle s’occupe de leurs deux enfants, donne des cours d’espagnol et est bénévole à la ludothèque de Monthey.

>> Voir aussi la vidéo du Journal du matin, sur le regard de ces migrants sur la complexité des assurances et du système de santé suisse :

Miguel est maçon, dans le canton de Neuchâtel. Il travaille à son compte, en tant qu'indépendant.

Espagnol d’origine, il a un diplôme universitaire d'enseignant, et un diplôme d’ingénieur spécialisé dans l’énergie photovoltaïque et renouvelable. Diplômes qu'il n’a pas encore pu faire reconnaître en Suisse.

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Voir aussi la vidéo du Journal du matin

, avec l'interview de Pascal Broulis, conseiller d'Etat vaudois, venu répondre à certaines critiques de ces migrants: