Depuis sa création, le Goncourt a comme une odeur de souffre. On fustige la partialité de ses choix, on dénonce des "petits arrangements entre amis". Didier Decoin, secrétaire général de l’Académie, se défend de ces accusations. Pour lui, le jury n’a pas vocation à être découvreur de talents inconnus, ni de consécrateur de génies.