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Notre ennemi, c’est Daesh. Entre la peste du régime de Bachar al-Assad et le choléra du groupe Etat islamique, François Hollande a donc choisi. Il fera la guerre au choléra. Les attentats de Paris ne lui ont pas laissé le choix. Une nuit de violence et de massacres a tout changé. Devenu chef de guerre, le président français est désormais le plus fervent avocat d’une grande coalition pour détruire le groupe Etat Islamique. Il faut unir les forces. Pour y parvenir, les rendez-vous sont déjà pris. Avec Barack Obama, le 24 novembre. Avec Vladimir Poutine deux jours plus tard. Les alliés de l’Union européenne suivront. Les lignes bougent rapidement. Les positions se rapprochent. La menace djihadiste nécessite une réponse commune.
Nicolas Vultier: ne pas absoudre Bachar