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Dès ce mardi, tout internaute risque jusqu'à trois ans de prison en Chine si une rumeur qu'il a propagée sur le web est vue par plus de 5000 internautes ou qu'elle est rediffusée plus de 500 fois. Par "cas grave" de diffusion d'une fausse information, les autorités chinoises entendent "une rumeur qui nuit à la santé mentale d'une personne visée, qui débouche sur des manifestations ou des émeutes ethniques ou religieuses, ou qui a un "mauvais effet à l'étranger". Ces mesures destinées à "corriger le chaos sur internet". Selon les médias officiels, des interpellations liées à la propagation de rumeurs sur le net ont ciblé une dizaine de personnes ces dernières semaines.
La Chine s’attaque aux rumeurs sur le net