Vincent Bourquin. [Jay Louvion]

Vincent Bourquin: le vivre-ensemble et non la guerre des langues

Merci Nidwald, merci Thurgovie, merci Lucerne Votre volonté de ne plus faire du français la première langue étrangère enseignée chez vous a suscité un débat salvateur. Qui a largement dépassé le cercle de quelques francophiles. Grâce à vous on a changé de paradigme, désormais la question des langues dépasse largement les préoccupations scolaires.
Vincent Bourquin: le vivre-ensemble et non la guerre des langues