A Bâle, une retraitée poignarde un enfant de 7 ans. A Zurich, un étudiant bat son collègue à mort. Dans les deux cas, les motifs paraissent absurdes. Les coupables sont-ils fous ? Comment juger ces actes et comme dans les attentats de Morges ou de Zoug est-ce qu’on aurait dû mieux évaluer la dangero...