C’est à peine croyable mais cela se passe sous nos fenêtres. Venus d’Ukraine, de Pologne, de Macédoine, ils travaillent sur les chantiers ou dans le nettoyage parfois pour 20 centimes de l’heure. Affamés et battus par des patrons sans scrupules, ils vivent dans la terreur. A Genève en particulier, p...