Les attentats de Paris, comme les attaques contre les tours de New York, ne font pas que des victimes. Ils ont aussi un coût économique direct et, surtout, indirect. Moins de dépenses de consommation, des touristes qui changent leurs plans, des investissements dans les mesures de sécurité… TTC va tenter d’évaluer l’impact. Nick Hayek parle d’un tsunami… une catastrophe pour nos exportations. Trois jours après avoir réaffirmé que c’est un pilier de sa politique monétaire, la BNS fait exploser le taux plancher avec l’euro… La bourse suisse a dévissé! Nous reviendrons sur ce coup de tonnerre. Quelles seront les conséquences?
Fin du taux plancher: un tsunami pour l’économie suisse?
Nick Hayek parle d’un tsunami, d’une véritable catastrophe pour les exportations des entreprises suisses. Ces dernières ne cachent en effet pas leur stupeur suite à l’annonce, jeudi par la Banque Nationale Suisse, de la fin du cours plancher face à l’euro. Trois jours plus tôt, la BNS affirmait pourtant que ce taux plancher était un pilier de sa politique monétaire. Comment expliquer une telle volte-face ? Quelles en seront les conséquences? Réponses avec François Savary, stratégiste à la banque Reyl, Michel Girardin, professeur d’économie à l’Université de Genève et Nicolas Brunschwig, président de la Fédération des Entreprises Romandes.
Le coût du terrorisme
Les attentats de Paris, comme les attaques contre les tours de New York, ne font pas que des victimes. Ils ont aussi un coût économique direct et, surtout, indirect. Moins de dépenses de consommation, des touristes qui changent leurs plans, des investissements dans les mesures de sécurité… TTC va tenter d’évaluer l’impact.