‘suisse sous couverture‘18 Résultats
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"La Suisse sous couverture" saison 2 : quand Confédération rime avec espionAprès les affres de lʹaffaire Crypto qui avait secoué le pays en 2019, la websérie "La Suisse sous couverture" fait son retour avec une deuxième saison. Davantage axée sur les technologies de surveillance, elle décrypte "la lune de miel passionnée et passionnante entre la Confédération et le renseig
Tueurs à gaz (4/5)Le 4 mars 2018, l’agent double russe Sergueï Skripal et sa fille sont empoisonnés au Novitchok. L’enquête révèle que les deux principaux suspects appartiennent aux services secrets militaires russes. Lors de leur arrestation, les deux espions faisaient route vers le laboratoire de Spiez, au sud de B
SCL, base arrière genevoise de Cambridge Analytica (5/5)En 2015, les ordinateurs de l’entreprise britannique Cambridge Analytica ont utilisé les données Facebook d’au moins 87 millions d’utilisateurs afin d’influencer le vote de citoyens. Grâce à nos données, Cambridge Analytica est capable de brosser un portrait très précis des électeurs. Et de cibler
Alliances totalitaires (2/5)En 2011, WikiLeaks documente la vente de technologies d’espionnage à des États autoritaires. Ces armes servent à la surveillance des populations. Parmi les entreprises qui les conçoivent, certaines sont suisses comme Dreamlab. La société bernoise a vendu ses technologies à Oman. Grâce à elles, le Su
La tête dans les nuages (1/5)En juin 2021, la Suisse décide de bâtir son cloud national avec Amazon, Alibaba, Oracle, IBM et Microsoft. Cela veut dire que toutes les données de la Confédération seront stockées sur les serveurs de ces multinationales américaines et chinoises. Mais pourquoi pas suisses?
Israël, j'écoute! (3/5)En 2013, la Suisse confie la fabrication du système d’écoutes de ses polices et tribunaux à l’entreprise israélienne Verint, fondée par un ancien agent du Mossad. A Berne, ce choix inquiète. La Suisse est-elle sous écoute d’Israël?
Crypto révolution (5/5)D’un côté, Google et consorts contrôlent les canaux et le stockage de l’information. De l’autre, une puissante mouvance de hackers tente de rendre cette information publique, en piratant des systèmes informatiques. L’enjeu de cette guerre? La défense de libertés fondamentales, aussi bien sur interne
Le secret bunker suisse (4/5)Nos données numériques personnelles sont une mine d’or d’informations qu’il faut protéger des regards indiscrets. En Suisse, une législation déficiente – elle date de 1992 – permet à des puissances étrangères d’accéder à ces données. Dans le dossier du "big data", c’est la souveraineté de la Confédé
Genève, nid d'espions (3/5)Des salons de l’ONU truffés de micros, des antennes camouflées dans les missions diplomatiques et des agents russes ou américains infiltrés partout... A Genève, où Edward Snowden travaillait pour la CIA, le petit monde du renseignement grenouille discrètement et les espions chassent en meute.
Les grandes oreilles de la Confédération (2/5) A Loèche, Swisscom, le Département fédéral de la défense et des entreprises privées proches de la National Security Agency (NSA) gèrent un parc d’antennes pour les communications satellitaires entre la Suisse et l’étranger. En l’an 2000, ce site stratégique devient la porte d’entrée privilégiée de W
Agents infiltrés (1/5)En 1955, les services de renseignement américains et l’entreprise suisse Crypto AG concluent un accord confidentiel qui permettra l’espionnage des communications de 130 pays. Durant des décennies, un pan de l’industrie helvétique sera impliqué dans ces activités, malgré la "neutralité" du pays et av