La couverture de "La nuit des Juifs-Vivants". [L'Antilope]

La nuit des Juifs-vivants

A Varsovie, en Pologne, le narrateur - qui ne dit jamais son nom - vit avec sa copine, qu’il appelle la Gigue. Lui est carreleur, elle est une néo-baba maigre comme un clou et ensemble ils vivent dans une douce banalité. Jusqu'au jour où, par un curieux concours de circonstances, notre héros découvre que sa cave abrite des zombies, des dizaines et des dizaines de juifs morts pendant la seconde guerre mondiale et revenus à la vie pour terminer ce qu’ils ont laissé en suspens et pouvoir enfin goûter au repos éternel. A travers une histoire hautement rocambolesque, bien écrite, bien rythmée et à l'humour sombre et féroce, "La nuit des Juifs-Vivants" pose la question de la mémoire au moment où d’autres zombies aux idées marrons ressortent eux aussi de leur tombe pour venir nous hanter.

"La nuit des Juifs vivants", un roman d’Igor Ostachowicz, traduit en français par Isabelle Jannès-Kalinowski, aux éditions de lʹAntilope.
La nuit des Juifs-vivants