Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- L'invité : Antonio Troilo "Il faut le boire"Le Théâtre du Passage à Neuchâtel sʹinvite dans les caves du Littoral pour faire lʹéloge du vin et de lʹamitié avec humour et sensibilité.
Interprétée par Thierry Romanens, Frank Semelet et Antonio Troilo, " Il faut le boire" convie le public à un moment complice et léger, où les chansons se mêlent aux confidences de personnages. On se laisse vite emporter par cette réflexion sur notre goût pour la perte de contrôle temporaire… et sur ses conséquences! Du 7 au 22 août 2020 au Théâtre du Passage à Neuchâtel.
Antonio Troilo est lʹinvité de Pierre Philippe Cadert. - La saga TikTokTikTok, lʹapplication de partage de vidéos prisée par les jeunes est le dernier front en date de la "guerre" qui oppose la Chine et les Etats-Unis. Donald Trump a annoncé son intention de bannir le réseau social chinois des Etats-Unis, avant dʹouvrir, quelques jours plus tard, la possibilité dʹune vente de lʹapplication à une entreprise américaine. Guerre commerciale? Guerre politique et de lʹinformation? Reste que dans ce conflit, les grands perdants risquent d'être les jeunes utilisateurs qui partagent, créent et qui se mobilisent aussi politiquement. Avec Stéphane Koch, spécialiste en communication digitale et relations publiques. Une chronique de Miruna Coca-Cozma
- "Tragicomique"Cʹest le rendez-vous estival que vous propose Geneviève Bridel avec des romans qui font sourire et voir le bon côté dʹincidents pas toujours drôles. Des romans adaptés au cinéma, parfois de gros succès, mais surtout, des exemples dʹhumour français, anglais et même… suédois, à recommander.
Episode 2 - Embrassez qui vous voudrez /Vacances anglaises, de Joseph Connolly (Points Seuil)
Deux couples de voisins plus ou moins amis - et leurs enfants respectifs - se retrouvent dans la même station balnéaire anglaise pour des vacances qui nʹauront rien à voir avec ce quʹils imaginent. Trahison, quiproquos, paranoïa et règlements de compte se succèdent à un rythme accéléré. Paru à la fin des années 90 dans une Angleterre matérialiste et décomplexée sur fond de spéculation immobilière, le roman de Joseph Connolly mêle sur plus de 400 pages le comique de répétition au " nonsense " britannique. Grinçant.