On en parle
Publié le 31 décembre 2021 à 10:40 - Modifié le 31 décembre 2021 à 10:49
Série: empreinte et emprise des réseaux sociaux
Du 27 au 31 décembre, On en parle sʹintéresse à lʹimpact des réseaux sociaux sur nos comportements et sur la société. Une série proposée par Loïc Delacour.
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Épisode 1
Les algorithmes de la division
On commence cette série avec un premier épisode consacré aux algorithmes de Facebook, Twitter ou YouTube accusés dʹalimenter la haine et les discriminations. Lê Nguyên Hoang, youtubeur et chercheur à lʹEPFL, nous explique premièrement ce que sont ces algorithmes.
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Épisode 2
Les jeunes sur les réseaux sociaux
Ce deuxième épisode s'intéresse plus particulièrement aux jeunes et à leur utilisation de réseaux sociaux comme Tiktok ou Snapchat. Comment utilisent-ils ces outils de communication? Réponse avec le psychologue et spécialiste de l’hyperconnectivité Niels Weber.
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Épisode 3
L'impact des images
Ce troisième épisode est consacré à lʹimpact des selfies et des images que l'on voit sur des plateformes comme Instagram. Niels Weber, psychologue et spécialiste de lʹhyperconnectivité, explique le phénomène de trouble de dysmorphie corporelle, amplifé par lʹutilisation des réseaux sociaux. En deuxième partie, le chirurgien plasticien du Centre hospitalier universitaire vaudois Luigi Schiraldi aborde les répercussions des nouveaux outils de communication sur la popularité des interventions chirurgicales.
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Épisode 4
Les applications de rencontre
Cet épisode se penche sur les réseaux sociaux et applications destinés à faire des rencontres, comme tinder ou grindr. Jessica Pidoux, sociologue et post-doctorante à Science Po Paris, explique comme ces applications de rencontre renforcent le modèle patriarcal et le sexisme.
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Épisode 5
Éviter lʹaddiction aux réseaux sociaux
Pour le dernier épisode de la série, Lê Nguyen Hoang, youtubeur et chercheur à lʹEPFL et Niels Weber, psychologue et spécialiste de lʹhyperconnectivité nous racontent comment les réseaux nous rendent addicts, et quelles sont les pistes pour nous protéger de ces usages problématiques.