La mer, source d'énerge 1 - Impact environnemental (R) - Faune bactérienne
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Plongée dans le monde marin: la mer, source d'énergie (11/20)Les océans recouvrent les deux tiers de notre planète… A l'heure du réchauffement climatique et de la crise énergétique, tous les yeux se tournent vers la mer pour y puiser une énergie non polluante et renouvelable : l'énergie des vagues et du vent … L'idée n'est pas neuve…En 1874, Victor Hugo écrit : " Réfléchissez au mouvement des vagues, au va et vient des marées, l'océan est une immense force perdue "… Plus près de nous, les experts du changement climatique au sein de l'IPCC estiment le gisement des énergies marines à 100 000 TeraWattheure par année…5 fois les besoins de l'humanité en électricité… CQFD explore ce potentiel des énergies marines, notamment les éoliennes flottantes et les système de récupération de l'énergie des vagues au bassin de houle de l'Ecole Centrale de Nantes Avec Pierre Ferrant, Directeur du Laboratoire de recherche en Hydrodynamique, Energétique et Environnement Atmosphérique (LHEEA), Ecole Centrale de Nantes Christian Berhault, Directeur du site d'essai SEM-REV, Jean Marc Rousset, responsable des moyens d'essais, Ecole Centrale Nantes
- L'impact environnemental de la consommation de viandeLe 1er octobre 2012 est la journée mondiale du végétarisme. L'occasion pour Adrien Zerbini de se pencher sur les avantages environnementaux de ce régime alimentaire. Selon un rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, 70% des surfaces cultivées sur terre sont utilisées pour nourrir des animaux d’élevage. 18% de la totalité des émissions de gaz à effet de serre liées à l’homme sont issues de la production de viande! Nouvelle diffusion d'une séquence de l'émission du 1er octobre 2012.
- La faune bactérienne qui est en nousLe noma défigure l’Afrique à cause d’un déséquilibre bactérien dans la bouche. C’est un fait scientifique qui renvoie de plus en plus souvent les médecins à leurs certitudes: nous sommes plus bactérie qu’humain. Dans l’estomac, sur la peau ou dans la bouche, notre corps se compose de 10x plus de bactéries que de cellules. Une baffe à notre ego qui bouleverse notre façon de voir la santé et la maladie. Un "simple" déséquilibre de cette faune bactérienne serait peut-être même la cause de nombreuses pathologies très graves, dont le noma. Les explications de Didier Pittet, médecin chef du service de prévention et contrôle des infections des HUG.