L’administration fédérale ne recourra en principe plus aux entreprises étrangères pour ses prestations informatique et de communication importantes. Face aux risques relevés dans des affaires comme celle de l'espionnage américain, le Conseil fédéral a décidé de serrer la vis.
Sont concernées aussi bien des prestations fournies dans le cadre de l'armée que via des téléphones portables ou des ordinateurs.
Menaces
Cette décision résulte d'une discussion menée par le gouvernement au sujet des menaces qui pèsent sur l’infrastructure de la Confédération et rendue publique après coup mercredi par le Département fédéral des finances.
ats/pym