Dans le cas où les tenanciers d'établissements publics ne présentent pas leur concept visant à "garantir une haute sécurité alimentaire à leurs clients", ils risquent de devoir fermer, faute d'autorisation valable, expliquent les deux quotidiens neuchâtelois.
Parmi les 898 établissements publics que compte le canton, 78% d'entre eux ont toutefois déjà déposé leur projet.
Court sursis pour les récalcitrants
Au 1er janvier, les récalcitrants seront eux en sursis. "Nous établirons une liste dès la première semaine du mois de janvier, puis nous leur donnerons un ultime délai d'un mois. S'ils ne se mettent pas en règle à ce moment-là, nous les ferons fermer", explique Pierre-François Gobat, chef du Service de la consommation et des affaires vétérinaires (Scav).
GastroNeuchâtel et le Scav estiment qu'à la fin de l'année, cinquante à septante tenanciers n'auront rien entrepris pour renouveler leur autorisation.
kg