L'enquête a permis d'exclure un dysfonctionnement technique de la colonne à essence ainsi que du véhicule, précise la police jurassienne dans un communiqué. Les analyses ont révélé "la présence d'un produit inflammable de type essence" dans le véhicule et sur le corps de la victime.
L'enquête a permis d'écarter l'intervention d'un tiers et a révélé que cet homme avait réalisé sur son ordinateur des recherches sur les moyens de suicide. L'explosion puis l'incendie de la voiture sont dus à l'inflammation rapide d'un mélange gazeux de combustible et d'air qui s'était établi à l'intérieur du véhicule.
En raison de l'ampleur des flammes et du risque d'explosion, la rue avait été bouclée et quatre immeubles abritant une quinzaine de personnes avaient été évacués pendant l'extinction des flammes.
cab