Le commerce du sexe qui se déroule dans des appartements privés n'est pas nécessairement un gage d'une indépendance accrue ni d'une meilleure prévention contre l'exploitation et les abus, relève la commission cantonale sur l'exercice de la prostitution dans son rapport publié jeudi.
Il est en outre plus difficile d'accéder à celles et ceux qui travaillent à leur propre compte dans des appartements.
Cette commission est chargée du suivi de la loi cantonale sur l'exercice de la prostitution entrée en vigueur en 2013. Ce texte vise une protection accrue contre l'exploitation et les abus ainsi que de meilleures conditions de travail.
ats/mo