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L'affaire Maëlys relance des enquêtes, dont celle sur la tuerie de Chevaline

Le principal suspect de la disparition en France de la jeune Maëlys a été mis en examen mercredi pour l'assassinat d'un jeune militaire près de Chambéry, en Savoie. Les inspecteurs analysent d'autres cas non élucidés, dont la tuerie de Chevaline.

Cet ancien militaire de 34 ans, mis en examen pour le meurtre de Maëlys, 9 ans, est désormais accusé du meurtre d'un militaire de 23 ans.

Ce dernier avait disparu en avril après une soirée passée dans le centre-ville de Chambéry. L'analyse du téléphone portable du suspect a montré qu'il se trouvait aux mêmes endroits au même moment que le jeune soldat la nuit de sa disparition.

Plusieurs cas dans la région

Ces soupçons de double homicide ouvrent la voie à la résolution potentielle d'autres homicides non résolus ou de disparitions inquiétantes. Le Parisien évoque "une dizaine de dossiers", dont la tuerie de Chevaline, en Haute-Savoie, où un cycliste et trois membres d'une famille britannique avaient été tués en septembre 2012.

Selon la presse française, des "vérifications" vont également être entreprises au sujet de la disparition d'un Belge de 24 ans dans la région du lac d'Annecy en juillet dernier et les cas de deux jeunes volatilisés en 2011 et 2012 après le même festival de musique près d'Albertville.

mre avec ats

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