La hauteur des deux bâtiments a attisé la curiosité créatrice de nombreux artistes contemporains.
En 1974 déjà, le Français Philippe Petit, connu pour ses "performances" à travers le monde, accomplit un rêve de gosse: tendre un fil et passer entre les deux tours du World Trade Center en toute illégalité. Un documentaire retrace l'histoire du "crime artistique du siècle".
>>Bande-annonce du documentaire "Le funambule":
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En 1999 on offre à des artistes américains une résidence au sommet des tours. Ils vont mettre en scène, ou en son, le gigantisme du bâtiment et sa structure capable de générer sa propre musique.
Des sons de porte comme autant de percussions, qui finissaient par faire croire que les tours respiraient ou que leurs cœurs battaient. Certains artistes ont mélangé des chants d'esclaves dans les champs de coton à un fond musical genre muzak.