Les secrets des plus beaux morceaux de musique classique

Dans "Le Songe d'une nuit d'été", composé par Mendelssohn en hommage à Shakespeare, il y a des elfes, des arbres, un idiot à la tête d'âne, et des histoires d'amoureux qui ne vont faire qu'empirer à cause de la maladresse d'un lutin, qui verse son suc d'amour partout et surtout là où il ne faut pas!

Où l'on apprend que "Les quatre saisons" de Vivaldi sont le premier grand exemple de la musique à programme, une musique qui imite la réalité.

C'est la 6e et dernière symphonie de Tchaikovsky, et le compositeur décédera quelques jours après sa création, en déclarant qu'elle est sa meilleure composition.

La valse est une danse fabuleuse, il n'y a qu'à compter, 1, 2, 3. Et on pense à l'Empire austro-hongrois, Vienne et le Beau Danube Bleu. C'est à tout ça que Ravel rend hommage en 1920 avec "La Valse", juste après la Première Guerre mondiale.

Mozart va composer la musique de "Don Juan" sur un livret de Lorenzo Da Ponte, en en faisant un Dramma Giocoso, un drame joyeux, qui comporte quand même la première musique d'horreur de tous les temps.

Brahms, c'est la stabilité incarnée. Pas étonnant que ce 2e concerto, surnommé "L'adulte" soit une partition immense et solide, le concerto le plus imposant du 19e siècle. Et il ne pouvait commencer que par la noblesse du cor.

Patrick Leterme nous raconte la (petite) histoire de "Rhapsody in Blue", de George Gershwin. Comment ce symbole du rêve américain a été composé, et quelle a été la part d'improvisation du compositeur pour écrire ni un concerto ni une sonate, mais une rhapsodie.

L'homme est vraiment une raclure. Non content d'avoir inventé les instruments de torture, l'homme inventa le piano et ses gammes.

"West Side Story" est le spectacle de Broadway qui ressemble le plus à un opéra. Et surtout à la tragédie de Roméo et Juliette, mais ici pas de Montaigu ni de Capulet, ce sont les Jets qui sont en guerre avec les Sharks, dans une spirale de violence et de vengeance, où sont embarqués bien malgré eux, Tony et Maria.

Tout le monde - même Céline Dion - joue la "Sonate au clair de lune" de Beethoven. Beethoven qui ne lui avait pas donné ce nom-là - il fut rajouté 5 ans après sa mort - n'appréciait pas qu'on lui rabâche les oreilles avec cette 14e sonate sur les 32 qu'il avait écrites.