"Emmanuel Macron a fait des études de philosophie. Il emploie des mots rares, mais aussi des mots populaires comme carabistouille, comme de Gaulle pouvait le faire. C'est très bien", estime le journaliste Bernard Pivot.
Aujourd'hui âgé de 83 ans, il était invité à commenter l'inscription dans les dictionnaires 2018 de mots comme "darknet", "globish" ou encore "running".
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Devenu référence en matière de langue française, Bernard Pivot critique ce choix, jugeant l'influence de l'anglo-américain "trop exclusive".
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