Genève / Lausanne, le 10 juillet 2023 - La RTS sort le grand jeu pour la Coupe du monde féminine de football 2023. Du 20 juillet au 20 août, RTS 2, le site et l’application RTS Sport diffusent en direct un à deux matches par jour, dont tous ceux de l’équipe nationale, les demi-finales et la finale.
Les journalistes de la RTS Frédéric Scola et Jérémie Henriod seront sur place et commenteront les rencontres aux côtés de la consultante et ancienne internationale suisse Noémie Beney. Stefan Renna y sera également pour nous faire vivre la compétition au quotidien sur les réseaux sociaux et plus particulièrement sur Instagram, tandis que Ludovic Perruchoud alimentera le site et l’app RTS Sport.
Côté radio, Grégoire Perroud interviendra quotidiennement dans les rendez-vous d’information, dans le magazine Sport Première chaque samedi entre le 20 juillet et le 20 août et dans les journaux horaires des autres chaînes.
Qui pour succéder aux « Stars and stripes » ? Vainqueurs de quatre des neuf éditions de la Coupe du monde féminine, les Américaines se présentent en Australie et en Nouvelle-Zélande en grandes favorites. Mais les nations capables de rivaliser au plus haut niveau sont de plus en plus nombreuses, à commencer par l’Allemagne, l’Angleterre, la Suède et la France.
Et la Suisse ? Deuxième de son groupe qualificatif derrière l'Italie, l’équipe nationale dispute la deuxième phase finale de son histoire après 2015. Le tirage au sort a été plutôt clément. En phase de groupes, elle affronte la Norvège (12e au classement FIFA), la Nouvelle-Zélande (26e) et Les Philippines (46e).
Placée au 20e rang du classement FIFA, l’équipe compte des meneuses de haut rang comme sa capitaine Lia Wälti (Arsenal), l’attaquante Ramona Bachmann (PSG) ou encore Ana-Maria Crnogorcevic (FC Barcelone). Une qualification pour les 1/8e de finale semble dès lors accessible.
La RTS diffusera au total 28 rencontres en direct (24 sur RTS 2 et 4 en web only sur le site et l’app RTS Sport). Des entourages sont prévus pour les matches de l’équipe de Suisse, le match d’ouverture (Nouvelle-Zélande – Norvège), les demi-finales et la finale.
« Le foot féminin est en plein essor et l’équipe de Suisse y participe », relève le rédacteur en chef des Sports de la RTS Massimo Lorenzi. « Ce sont de très bonnes raisons pour mettre en valeur ce rendez-vous mondial », poursuit-il.